Un touriste en ces lieux

dans le hall du chateau, Gaya cherchait désespérément la salle du trône, sans réussir à la trouver. N'osant pas demander aux gardes, de peur qu'ils ne l'expulsent, Gaya errait sans trop savoir que faire.

Derriere lui une ombre se formait et pris la forme de Raviel , et celui ci fit,

Je vous attendait barde , veuillez interprétez vos mélodies ...

Gaya, en sursautant

- Aaaah ! Messire, vous m'avez fait peur !

sortant de sa poche un petit bout de parchemin, Gaya dit

- Permettez-moi avant tout, messire, de vous lire ce modeste sonnet en votre honneur !

Citation :: Lui dont l'armée sans nombre
Impose sa volonté
Dans cette obscure contrée.
Raviel, maître de l'ombre,

Que peut donc faire l'humble
Sinon se soumettre
A ce terrible maître ?
Et moi-même, si malingre,

Dans mes nombreux voyages,
Et même à chaque rivage
Où j'accoste, nulle trace

De quelqu'un plus puissant !
Ni autant rayonnant !
Devant vous, tout s'efface...

puis, marquant une pause, Gaya dit

- Je m'excuse de ne pouvoir vous offrir mieu pour l'instant, mais c'est que la faim me tenaille depuis que j'ai débarqué dans votre île (charmant domaine, au passage), et j'ai du mal à exercer mon art le ventre vide !

(hrp : désolé pour le sonnet médiocre, mais bon, l'improvisation c'est moyennement mon truc ! Je ferais mieu une prochaine fois !)

alors laissez moi vous remercier pour votre sublime texte ,je l'aprécie grandement , et je vous invite à venir prendre un repas à ma table , où vous y dégusterez tout ce dons il vous plaira , puis si vous le voulez bien j'aimerais vous entendre ,et ecouter votre chanson

fit Raviel en montrant la table garni de mille denrées et de délicieuses choses .

(HP: ne t'inquiete pas ton texte est super)

(l'impro est pas mal Gaya, je suis incapable de faire ça, même en y réfléchissant des années...)

Le coeur de Gaya ne fit qu'un bond. Tant de nourriture ! S'installant, et commençant à manger, Gaya regardait son hôte...

- Alors, c'est vous le maître de ces lieux ? Eh bien, voila qui me convient parfaitement ! Je serais heureux pour vous plaire de jouer ma dernière composition, mais à vrai dire, ce ne sont pas là mes seuls talents ! Peut-être pourriez-vous me trouver un travail rémunérateur ?

Son repas terminé, Gaya sortit son instrument, une belle lyre sculptée de motifs étranges évoquant plus la folie du créateur que la magie de son oeuvre. Il frappa délicatement les cordes, vérifiant ainsi que le son était pur. Regardant Raviel, il dit

- Cependant, ce n'est pour le moment qu'une mélodie, parce que mon aptitude au chant étant plus que limité, je m'en voudrais de vous faire fuir !

Il commença à jouer... Son boléro de Raviel semblait plaire... Voila qui était de bonne augure pour la suite.

Raviel aimait la mélodie , et apréciait grandement son invité , il anonça donc:

_Votre composition me plait beaucoup et j'aimerais vous avoir à mes côtés pour avoir de la distraction , non pas que vous serez mon bouffon comme certains roi s'en attichent , mais votre capacité à créer est trés utile et je pense savoir aussi que vous etes fort dans une capacités tel que le vol ,le cambriolage et l'espionnage , et je voudrais faire de vous , mon espion atitré , et mon barde , vous serez logit , blanchit , nourrit et vous porterez bien sur mes couleurs , cela dit ,je ne vous obligerait pas à espionner, si vous ne le souhaitez pas , vous pourriez juste etre mon barde , cela vous permetra de vivre plus decemment ,quand dites vous ?

Gaya réfléchit pendant quelques instants, en cachant mal sa jubilation...

- Eh bien, je cherche du travail, et quel qu'il soit, il me conviendra parfaitement. Il subsite un léger problème : il s'agit de vos couleur. Vous êtes un seigneur puissant, il est vrai, mais je ne compte pas travailler pour vous jusqu'à ma mort, je souhaite juste gagner suffisemment pour ouvrir un commerce en ville. Je travaillerai pour vous jusqu'à ce que j'ai assez, certes, mais je ne voudrais pas que trop de gens le sachent : ça pourrais nuire à mon commerce !

Gaya espérait bien n'avoir point déçu son hôte. Il dit alors

- Cela dit, je vous laisse le loisir d'utiliser mes dons comme bon vous semblera. Je suis certes habile, et ne suis pas sans savoir me défendre. Quand au titre de barde, c'est un honneur bien grand pour mes modestes talents. Si vous le souhaitez, je continuerais de temps à autres à chanter vos louange, mais de là à en faire mon métier !

Gaya rangeait son instrument, et l'esprit en ébulition, cherchait déjà de nouveau thèmes pour plaire à ce seigneur. Ainsi, il aurait bientôt assez d'argent pour accomplir son rêve.

Soit , je comprends vos motivations et je voudrais vous faire le cadeau d'une auberge , ou vous pourriez enfin etre à votre aise , puis vous pourriez travaillez pour moi sans que les autres le sache , en secret si vous vyez ,comme une confrerie noire mais aucunement maléfique

- Votre proposition m'enchante. Le maléfique ne me fait pas peur, cela dit. C'est l'esclavage que je craind. Et puis, je reviendrais parfois vous chanter des louanges !

_ sachez que je n'ai point d'esclave , et que mes sujets sont libre de leur choix , bon voila irez à la ville de votre choix et vous irez au poste de garde , la vous demanderez le chef de garde , et vous lui montrerez ceci ,cela montrera qu'il est obligé de vous croire , il vous demandera en quoi il peut vous aider et vous lui anoncerez que vous voulais ouvrir l'auberge , et que c'est moi qu'il en donne l'ordre ,et il vous indiquera la demarche a suivre et aprés c'est selon votre envie , et si vous le voulez , nous ferons une fete pour feter votre réussite

- Votre sollicitude me touche, messire. Soyez sûr que je vous serais éternellement reconnaissant ! N'hésitez pas à venir me voir quand je serais installé, ou bien envoyez un homme quand vous voudrez me donner des instructions. Tant que je serais libre, je vous serais fidèle.

Gaya partit, le coeur en fête.

Raviel souria en voyant qu'il avait rendu heureux